Les membres de l’équipe WE MEDIA vivent, mangent, boivent et respirent les magazines, journaux et autres sites Web. Et c’est aussi bien entendu le cas pour les autres professionnels du secteur. A ce titre, Sophie Vanderwinkel, General Manager d’IPM Advertising, nous a ouvert les portes de sa bibliothèque et de ses habitudes de lecture de magazines et de livres.
Quels magazines peut-on actuellement trouver sur votre table de salon ?
Il y a le plus souvent « Paris Match », « Moustique » Marie-Claire », « Ideat », « Le Courrier International » et « Vogue » ! Je suis une grande consommatrice de magazines, et donc pas uniquement de titres édités par IPM, ou Sanoma, chez qui j’ai travaillé durant vingt ans auparavant. De manière générale, j’aime bien papillonner entre les titres ! C’est autant par plaisir que par souci professionnel.
Quel abonnement magazine ne résilieriez-vous jamais ?
Plus qu’acheter par abonnement, je me rends surtout dans les librairies pour voir ce qui existe. Et puis, en ces temps difficiles, il faut soutenir les marchands de journaux ! J’ai aussi pour habitude de visiter les « Press Shops » des aéroports où je passe. Enfin, et je sais que je suis peut-être un cas à part, je conserve certains de mes magazines. Je dispose par exemple d’une bibliothèque de « Vogue » !
Quel est le premier journal que vous lisez le matin ?
Sans surprises, c’est « La Libre Belgique » ! J’en aime le ton et le contexte. La lecture de ce quotidien ainsi que le café du matin sont devenus un rituel immuable. Là, je parcours les pages, les titres et les éditoriaux. Et je me réserve la lecture d’articles plus longs pour le soir.
Quel est, en presse quotidienne, votre magazine préféré du week-end ?
Le supplément économique de « La Libre », qui allie économie et durabilité, m’accompagne le week-end. Après, j’aime aussi le supplément culture du mercredi, cela dit.
Quel livre se trouve sur votre table de chevet ?
Je sais qu’il existe deux écoles en la matière. Lire un seul livre ? Ou plusieurs à la fois ? Je suis tenante de la seconde option. J’ai pour habitude de lire un roman – pour l’instant je dévore « Feu » de Maria Pourchet – ainsi qu’un livre de philo ou de développement personnel, et un classique, que je peux déjà avoir lu avant… ou pas.
Quel est votre livre favori de votre bibliothèque ?
C’est précisément l’un de ces fameux classiques ! Il s’agit de « L’écume des jours » de Boris Vian, que j’ai relu récemment. J’aime l’écriture poétique de ce livre, ainsi que l’humour qui y est distillé même dans les moments les plus durs du récit.
Vous préférez lire sur papier, ou plutôt en digital ?
J’ai conservé un rapport affectif avec le papier. Bref, je lis peu en digital. Et puis, j’ai l’habitude de souligner des phrases et de corner des pages pour retrouver certains passages. Enfin, dans mon métier, on passe déjà une bonne partie de ses journées devant un écran, raison de plus pour alterner avec le papier durant les moments de loisir.
Vu votre métier, vous arrivez encore à lire des magazines sans les disséquer avec un regard professionnel ?
La première ouverture d’un magazine s’accompagne toujours d’un réflexe professionnel: je regarde qui annonce dedans. Ensuite, j’arrive à devenir moins professionnelle lorsque je lis. J’essaye de moins analyser les choses. Même si ce n’est pas toujours simple…
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